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LA MANIFPOURTOUS 47
23 février 2013

Ecrire à votre sénateur + modèles de lettres

Le mariage en débat : écrivez à votre sénateurE-mail

Adresse pour vos courriers :
Monsieur le Sénateur Pierre Camani (groupe socialiste)    p.camani@senat.fr
Monsieur le sénateur Henri Tandonnet ( groupe UDI)                h.tandonnet@senat.fr
 
Mr le Sénateur XX
Le Sénat
Casier de la Poste
15 rue de Vaugirard
75291 Paris cedex 06

 Les AFC   vous proposent ce modèle de lettre à envoyer à votre sénateur(trice)



    "Madame / Monsieur le Sénateur,  L’Assemblée nationale a adopté en première lecture le projet de loi ouvrant le « mariage » aux couples composés de personnes de même sexe. Le processus législatif suit donc son cours, sans prise en compte des nombreuses réserves qui se sont exprimées à propos de ce texte ni de l’opposition qui s’est manifesté, notamment dans les rues de Paris le 13 janvier dernier et dans tous les départements le 2 février.

L’annonce d’autres projets de lois sur la famille traitant de l’AMP et la GPA amplifient la gravité de la situation. Elle nourrit aussi les inquiétudes sur des questions sur lesquelles le Gouvernement semble hésiter. C’est bien la preuve de leur gravité.

 A compter du 2 avril prochain, en tant que sénateur, vous serez appelé à vous prononcer sur ce texte en engageant votre responsabilité sur un sujet fondamental pour l’avenir de la société.

 Le mariage n’est pas qu’une affaire de sentiment. Il n’est pas un banal contrat entre deux personnes. C’est une institution qui unit un homme et une femme, leur donne des droits et des devoirs, protection… C’est une institution à laquelle aspirent les jeunes et qui est une référence commune, un élément du pacte républicain.

La loi dont vous allez débattre modifie substantiellement les règles de la filiation. Alors qu’un enfant a droit à avoir un père et une mère, elle va délibérément priver certains de cette possibilité et ainsi créer une grave injustice.

 Je tiens donc particulièrement à vous encourager pour voter contre ce texte car s’il était adopté, il modifierait en profondeur le sens commun du mot « mariage » et engagerait la responsabilité de la société toute entière à l’égard des enfants. "

 Sensible à votre souci de veiller à la cohésion de la société et au respect de ses membres, et en particulier des enfants, je vous prie de croire, Madame / Monsieur le Sénateur, à l'expression de ma sincère considération.

Pour trouver votre sénateur : site du Sénat



 
 

QUELQUES  EXEMPLES DE LETTRE ENVOYEES PAR LE 47

et dont vous pouvez vous inspirer (à remanier avec vos propres mots)

     

 

Mr/Me  XXX

   Coordonées

 

Messieurs les parlementaires,

 

Le débat sur le projet de mariage dit « pour tous » a commencé à soulever bien des questions, notamment éthiques, que ses opposants ont depuis longtemps posées, notamment lors de la grande manifestation du 13 janvier dernier.

 

A tel point que le Président de la République a souhaité l’avis du Comité consultatif national d’éthique au sujet de la PMA. Or il ne se passe pas un jour sans que la position du gouvernement et de la majorité à ce sujet varie.

 

Par ailleurs, le débat a montré que la majorité était loin d’être unanime sur ce projet. De plus en plus de personnalités de gauche s’élèvent contre ce projet qui va créer des inégalités graves et irréversibles pour certains enfants : le droit pour chaque enfant d’avoir et de connaître son père et sa mère. Ainsi Mme Sylviane Agacinski, philosophe spécialiste de la différence des sexes et épouse de M. Lionel Jospin, a-t-elle publiquement pris position en faveur de ce droit des enfants et demandé aux parlementaires de Gauche de s’élever contre ce projet.

Ainsi M. Bruno-Nestor Azerot, député de gauche la Martinique, a-t-il exposé à l’Assemblée que c’est au nom de ses convictions d’homme de gauche et d’humaniste qu’il voterait contre ce projet. Ainsi, Mme Bernadette Laclais, députée-maire PS de Chambéry, a-t-elle demandé la levée de la discipline de vote pour son groupe.

 

C’est pourquoi nous vous demandons de prendre publiquement position pour que la discipline de vote soit levée sur une question aussi fondamentale et que ce projet qui entraîne des modifications lourdes, notamment éthiques, soit retiré.

 

Dans une période de grave crise économique et sociale, le gouvernement s’honorerait de retirer ce projet qui divise jusque dans les rangs de la majorité.

 

Nous vous prions de croire, M. le Parlementaire, à nos sentiments respectueux.

        

                                                                                                         XXX

                                                                           


                                                    

     Mr/Me  XXX

         Coordonées

 

Ref : projet de loi « mariage pour tous »

 

 

Monsieur le Sénateur,

 

Je m’adresse à vous aujourd’hui car, comme des millions de français, j’ai l’impression de ne pas être compris et je souhaiterais que vous vous fassiez le porte-parole de ces français, de droite comme de gauche, qui n’arrivent pas à se faire à l’idée que, dans quelques semaines, la loi républicaine donnera deux pères ou deux mères à un enfant.

 

Vous avez comme chacun de nous eu un père et une mère. Vous savez qu’ils ont eu un rôle différent et complémentaire et si, pour une raison ou pour une autre, l’un d’entre eux a manqué à votre éducation, vous savez aussi combien cela vous a manqué.

Alors, au nom de quel « droit », pouvez-vous laisser faire un « test » sur les petits français à naître en leur donnant par la loi deux pères ou deux mères ?

 

Le projet de loi de Mme Taubira ne prévoit pas le seul mariage républicain pour les homosexuels (ils sont d’ailleurs majoritairement hostiles à cette institution), mais il prévoit bel et bien une filiation républicaine avec deux pères ou deux mères.

Les français peuvent se laisser abuser par le titre « mariage pour tous » du projet, mais nos élus qui votent ce texte ont largement eu l’occasion de le découvrir et de comprendre qu’il va bien au-delà du seul mariage.

Force est de constater qu’il prévoit bel et bien l’adoption par deux parents de même sexe.

Je comprends parfaitement le désir des couples homosexuels d’avoir des enfants, mais a-t-on réfléchi au souhait des enfants eux-mêmes ?

A votre avis combien d’orphelins rêvent d’avoir deux papas ou deux mamans et combien rêvent d’un papa et d’une maman ? Je pense que, comme moi, vous n’avez pas besoin de sondage pour connaître la réponse et ce n’est pas par homophobie ou par ringardise, c’est tout simplement parce que c’est naturel.

 

Alors, Monsieur le Sénateur, je vous demande d’agir courageusement dans les semaines qui viennent en étudiant bien le texte et en faisant en sorte de le modifier de telle sorte que la loi républicaine continue à prévoir un papa et une maman pour tous les enfants à naître.

Les droits des homosexuels peuvent encore être améliorés par rapport aux textes actuels, mais ce n’est pas en privant des enfants de leur filiation naturelle que nous les ferons progresser.

 

Je vous remercie de l’attention que vous porterez à mon courrier et encore plus de l’écho que vous en ferez à vos collègues de tout bord politique et à la tribune du Sénat. Je compte sur vous pour que la voix des enfants qui risquent d’être privés d’un papa ou d’une maman puisse être entendue.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Sénateur, l’assurance de mon profond respect.

  

                                  Mr/Me XX

 


 Ref : projet de loi « mariage pour tous »

 

 

Monsieur le Sénateur,

 

 

Je m’adresse à vous car vous allez bientôt examiner avec vos collègues du Sénat un projet de loi extrêmement important car il modifie la notion même de filiation.

Ce projet de loi est présenté auprès des français sous le vocable « mariage pour tous ».

En réalité, vous n’êtes pas sans ignorer qu’au-delà de l’article 1er qui ouvre le mariage aux personnes de même sexe, il traite en réalité dans les articles qui suivent de l’adoption et de la filiation.

On nous présente ce projet comme étant un projet tendant à l’égalité des droits des couples homosexuels avec ceux des couples hétérosexuels.

Il y a en réalité une confusion dans le vocabulaire ; En permettant à un couple homosexuel d’adopter un enfant comme un couple hétérosexuel, on n’applique pas un principe d’égalité, mais un principe d’identité.

La loi naturelle ne permet pas à un couple homosexuel d’avoir un enfant et on comprend bien le souhait de certains de ces couples d’avoir un enfant. Mais, faut-il pour autant priver délibérément un enfant de son père ou de sa mère naturelle pour répondre à ce désir, aussi profond soit-il ?

A-t-on pensé aux enfants dans ce débat sur le « droit » des homosexuels à adopter ?

On parle beaucoup de sondages « pour ou contre » le mariage et/ou l’adoption. Mais, avez-vous déjà lu un sondage qui demande aux enfants orphelins combien rêvent d’un papa et d’une maman et combien rêvent de deux papas ou deux mamans ?

Vous l’avez bien compris, il n’y pas un orphelin en France comme à l’étranger pour préférer deux pères ou deux mères à un papa et une maman.

Ceci devrait suffire à convaincre les couples d’homosexuels que s’ils peuvent contribuer à l’éducation d’enfant, ils ne peuvent prétendre être parents en commun d’un enfant. Je pense d’ailleurs que nombre d’entre eux, et malgré ce que cela leur coûte, ont parfaitement conscience (parce qu’ils ont eu eux-mêmes un père et une mère) que ce n’est pas souhaitable.

Les homosexuels ont été victimes d’injustice et de ségrégation dans le passé et parfois encore aujourd’hui ; cela ne nous autorise pas à commettre une injustice au moins aussi importante en privant un enfant de son père ou de sa mère naturelle.

En énonçant une telle vérité, on n’est ni « homophobe », ni « ringard ». Nos sénateurs doivent avoir le courage d’exprimer une telle opinion sans se laisser influencer par les idées reçues.

 

Les français connaissent l’esprit indépendance des sénateurs. Je compte sur vos collègues et sur vous pour étudier le texte proposé par le gouvernement en toute indépendance et poser les vraies questions que se posent tous les français.

Je compte sur vous pour défendre par votre voix et votre vote les orphelins afin que la loi républicaine, en cohérence avec la loi naturelle, continue à privilégier la filiation « père/mère » et l’intérêt des enfants à tout autre intérêt partisan.

 

 

Je vous prie de croire, Monsieur le Sénateur, à l’assurance de mon profond respect.

 

                                                                                                                         Mr/Me XX

 


 

Ref : projet de loi « mariage pour tous »

 

 

Monsieur le Sénateur,

 

Je m’adresse à vous car vous allez bientôt examiner avec vos collègues du Sénat le projet de loi « mariage pour tous » voté en première lecture à l’Assemblée.

Je souhaite, comme des millions de français, que ce texte fasse l’objet d’un débat public pour bien en expliquer les enjeux.

Le gouvernement a souhaité que le débat n’ait pas lieu en public, mais uniquement au niveau des députés et sénateurs, ce qui est légal, mais provoque un grand sentiment de frustration chez ceux qui ne partagent pas l’avis du gouvernement sur ce sujet sensible et clivant.

Je voudrais que le débat au Sénat, dont les français connaissent l’esprit d’indépendance, permette de rétablir un certain nombre de vérité :

 

1/ Ce projet de loi ne traite pas seulement du mariage, mais aussi de l’adoption et de la filiation qui vont de pair avec le mariage.

On ne peut, en tout état de cause, invoquer les sondages qui indiquent qu’une majorité de français sont favorables au mariage entre personnes de même sexe pour en conclure que les français sont favorables au projet de loi. Un récent sondage (IFOP pour Alliance Vita) indique que seulement 39% des français sont favorables au projet de loi qui prévoit mariage et adoption. Les autres se partagent entre ceux qui souhaitent uniquement un contrat d’union civile et pas d’adoption (36%) et ceux qui ne veulent ni de l’un, ni de l’autre (21%). Les français que députés et sénateurs représentent sont donc majoritairement opposés au projet de loi, même si une majorité souhaite une évolution du Code Civil pour permettre une formalisation plus significative de l’union entre homosexuels.

 

2/ Ce projet est présenté avec un certain « brio » comme étant l’aboutissement d’une lutte pour l’égalité. La forme ne doit pas l’emporter sur le fond. Ce projet n’applique pas un principe d’égalité entre couples homosexuels et hétérosexuels, il applique un principe d’identité qui est contraire à la loi naturelle. En permettant à des homosexuels d’avoir des enfants (à travers l’adoption, la PMA et la GPA), on n’applique pas un principe d’égalité, mais on fait un « copier/coller » du couple hétérosexuel.

Au contraire, le projet de loi crée de l’inégalité entre les enfants. Désormais, certains auront un papa et une maman et d’autres deux papas ou deux mamans. Ils auront deux livrets d’Etat Civil différents, l’un avec un père et une mère et les autres avec parent 1 et parent 2.

Vous devez avoir le courage de faire entendre la voix des enfants qui vont être victime d’inégalité et d‘injustice si cette loi est votée en l’état.

 

3/ Les partisans du projet parlent de droit au mariage et à l’adoption. En réalité, il n’y a pas de « droit à l’enfant ».

A-t-on pensé aux enfants dans ce débat sur le « droit » des homosexuels à adopter ?

Avez-vous déjà lu un sondage qui demande aux enfants orphelins combien rêvent d’un papa et d’une maman et combien rêvent de deux papas ou deux mamans ?

Vous l’avez bien compris, il n’y pas un orphelin en France comme à l’étranger pour préférer deux papas ou deux mamans à un papa et une maman.

Ceci devrait suffire à convaincre les couples d’homosexuels que s’ils peuvent contribuer à l’éducation d’enfant, ils ne peuvent prétendre être parents en commun d’un enfant. Je pense d’ailleurs que nombre d’entre eux, et bien que cela leur coûte, ont parfaitement conscience (parce qu’ils ont eu eux-mêmes un père et une mère) que ce n’est pas souhaitable.

Vous devez avoir le courage de faire entendre la voix des orphelins dans les débats à venir.

 

4/ On nous fournit des exemples d’enfants élevés par des homosexuels pour nous dire que cela ne pose pas de problème.

Je vous demande de faire entendre la voix de ceux qui pensent autrement.

a/ Ce n’est pas parce que c’est possible que c’est souhaitable.

b/ Il y a confusion entre le fait d’être parent et le fait d’éduquer (on peut contribuer à une éducation sans être le père ou la mère et la généralisation du divorce a malheureusement multiplié les cas de personnes qui élèvent des enfants qui ne sont pas leur fils ou leur fille).

c/ Notre retour d’expérience sur le sujet est court et le principe de précaution demanderait qu’on s’abstienne de faire ce type de « test » sur nos enfants.

d/ Dans les quelques cas que j’ai pu voir, les enfants disent effectivement être à l’aise avec deux mamans (cas le plus fréquent), mais ils réclament aussi d’avoir un père…

Ce qui montre, vous l’avez bien compris toue la limite du modèle qu’on nous présente !!

La logique du « mariage pour tous » risque de nous faire glisser vers le mariage à trois ou quatre. C’est une preuve supplémentaire que l’essence ou l’idéologie du projet n’est pas bonne pour la société.

e/ En permettant l’adoption plénière par deux personnes de même sexe (dont l’un au moins n’est pas le parent biologique, tout le monde comprend bien pourquoi), on enlève toute possibilité à l’enfant de connaître à l’adolescence ou à l’âge adulte qui est son géniteur. Tous les professionnels concernés vous diront le traumatisme que cela représente.

Je vous demande de vous faire le porte-parole de ces vérités et d’expliquer que si on peut parfaitement comprendre le désir des homosexuels d’être parents, la société et la loi doivent faire prévaloir l’intérêt des enfants.

 

Les homosexuels ont été victimes d’injustice et de ségrégation dans le passé et parfois encore aujourd’hui ; cela ne nous autorise pas à commettre une injustice au moins aussi importante en privant un enfant de son père ou de sa mère naturelle.

En énonçant une telle vérité, on n’est ni « homophobe », ni « ringard ».

Nos sénateurs doivent avoir le courage d’exprimer une telle opinion sans se laisser influencer par les idées reçues.

 

Je compte sur vous pour défendre par votre voix et votre vote les orphelins afin que la loi républicaine, en cohérence avec la loi naturelle, continue à privilégier la filiation « père/mère » et l’intérêt des enfants à tout autre intérêt partisan.

 

 

Je vous prie de croire, Monsieur le Sénateur, à l’assurance de mon profond respect.

 

                                                                                                                                  Me/Mr XX

  


 

                                                                                                    Conseil Général du Lot-et-Garonne   

La Manifpourtous47                                                                                  Hôtel du département

Peyrouillès                                                                                                 47922 AGEN cedex 9

 47360 Sembas                                                                                  

manifpourtous47@gmail.com.

 

 

A l’intention de M. Pierre CAMANI, sénateur du Lot-et-Garonne,

                                                                                                                           Le 26 février 2013,

Monsieur le Sénateur,

Nous avons bien reçu votre courrier-réponse en date du 18 de ce mois et nous tenons à vous ré-exprimer nos inquiétudes quant au projet de loi « mariage pour tous ».

La société évolue mais un enfant naît toujours d’un père et d’une mère.


L’Assemblée nationale a adopté en première lecture le projet de loi ouvrant le « mariage » aux couples composés de personnes de même sexe. Le processus législatif suit donc son cours, sans prise en compte des nombreuses réserves qui se sont exprimées à propos de ce texte ni de l’opposition qui s’est manifesté, notamment dans les rues de Paris le 13 janvier dernier et dans tous les départements le 2 février.

 

L’annonce d’autres projets de lois sur la famille traitant de l’AMP et la GPA amplifient la gravité de la situation. Elle nourrit aussi les inquiétudes sur des questions sur lesquelles le Gouvernement semble hésiter. C’est bien la preuve de leur gravité, comme l’a développée récemment au Sénat  Mme Claire NEIRINCK, professeur de droit à l’université de Toulouse I Capitole.

 

A compter du 2 avril prochain, en tant que sénateur, vous serez appelé à vous prononcer sur ce texte en engageant votre responsabilité sur un sujet fondamental pour l’avenir de la société.

 

Le mariage n’est pas qu’une affaire de sentiment. Il n’est pas un banal contrat entre deux personnes. C’est une institution qui unit un homme et une femme, leur donne des droits et des devoirs…

C’est une institution à laquelle aspirent les jeunes et qui est une référence commune, un élément du pacte républicain.

 

La loi dont vous allez débattre modifie substantiellement les règles de la filiation. Alors qu’un enfant a droit à avoir un père et une mère, elle va délibérément priver certains de cette possibilité et ainsi créer une grave injustice.

 

Nous tenons donc particulièrement à vous encourager à voter contre ce texte car s’il était adopté, il modifierait en profondeur le sens commun du mot « mariage » et engagerait la responsabilité de la société toute entière à l’égard des enfants.

 

Sensible à votre souci de veiller à la cohésion de la société et au respect de ses membres, et en particulier des enfants, nous vous prions de croire, Monsieur le Sénateur, à l'expression de notre haute considération.


                                                                                                                           
La Manifpourtous47                                     

 

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